Voici une liste (non exhaustive) de quelques aliments à réduire ou, au contraire, à intégrer dans votre alimentation.
Les matières grasses : il est nécessaire de réduire les quantités consommées. Le beurre peut être remplacé par de la margarine et des huiles végétales telles que les huiles d’olive ou de noix. Ces aliments sont riches en nutriments et en bonnes graisses.
Les viandes : elles ne doivent pas nécessairement être consommées à chaque repas. La viande blanche (poulet, dinde, porc) est à privilégier par rapport à la viande rouge. Cette dernière peut être consommée deux fois par semaine. Les œufs peuvent être consommés mais doivent faire l’objet d’un dosage précis, surtout pour le jaune. Demandez conseil à votre médecin.
Le poisson : il est primordial de manger du poisson au moins une à deux fois par semaine. Les poissons gras et riches en oméga 3 tels que le maquereau, le saumon ou le thon sont autorisés.
Les produits laitiers : il faut limiter leur consommation hebdomadaire et choisir des produits contenant peu de matières grasses.
Les fruits et légumes : manger cinq fruits et légumes par jour est indispensable au bon fonctionnement de l’organisme.
Les boissons : il faut éviter toutes les boissons riches en sucres et boire beaucoup d’eau afin d’éliminer les toxines et les sucres solubles via l’urine.
La diversité des aliments permet d’élaborer de menus sains et contrôlés dans leur composition. Il faut à tout prix éviter les produits industriels riches en sucres et en graisses tels que les confiseries, les plats préparés ou les boissons industrielles sucrées.
Si l’élaboration des repas est importante, leur fréquence l’est encore davantage. Pour éviter les grignotages et favoriser le bon fonctionnement de l’horloge biologique (routine de l’organisme), il est conseillé de faire 3 à 5 repas par jour.